Malgré la crise sanitaire de l’année 2020, Trans-Forme était présente à divers évènements au Port Olona Les Sables d’Olonne : La course « Les Sables » en Baie de Morlaix Roscoff en trois étapes pour remplacer « Les Sables Les Açores ».
La mission d’Oscare : faciliter l’accès à l’éducation thérapeutique à un maximum de patients !
Mais qu’est-ce que l'ETP ? : des ateliers individuels ou de groupe avec des patients et accompagné par des soignants.
Le but : gagner en autonomie face à la maladie et apprendre à mieux la gérer au quotidien.
Oscare est une plateforme qui accompagne les patients pendant leur parcours : accès à du contenu numérique sur la maladie, sur les bons gestes du quotidien et ceux en cas de complications, des séances en téléconsultation...
Et côté soignants, on leur fait gagner du temps administratif pour faciliter au maximum le lien soignant/patient. Tout un programme !
Proposé sur prescription médicale, le dispositif médical Predigraft se positionne comme un soutien précieux du patient dans le cadre de son parcours de soins. Un facilitateur du quotidien dont les bénéfices se ressentent autant du côté des patients que du corps médical.
Le prélèvement d’organes sur donneurs décédés après arrêt circulatoire de la catégorie III de Maastricht (M3) est autorisé en France depuis 2014. Il concerne les patients pris en charge en réanimation pour lesquels une décision d’arrêt des thérapeutiques actives (ATA) est prise en raison d’un pronostic neurologique défavorable.
Dans le cadre d'une meilleure prise en compte de la dialyse à domicile, la Société Francophone de Néphrologie Dialyse Transplantation (SFNDT), avec le soutien institutionnel de l'entreprise Baxter, a développé un microsite (site internet spécialisé) destiné à renforcer la connaissance de ce type de dialyse.
L'objectif de ce microsite est de présenter la dialyse à domicile, son mode de réalisation et ses avantages. En France, 10% des adultes sont atteints d'une maladie rénale chronique. Parmi les 3 millions de français traités annuellement pour une insuffisance rénale chronique terminale (IRCT), seuls 7% bénéficient d'un traitement à domicile, alors que celui-ci présente de nombreux avantages, comme une plus grande autonomie du patient par exemple.
Tous ces détails sont expliqués sur ce microsite ludique et pratique. Le site renvoie également à deux autres ressources. La première est un manifeste pour le développement de la dialyse à domicile, document qui explique plus en détail la maladie rénale chronique, son coût et la prise en charge à domicile. Les freins de ce mode de traitement y sont détaillés, ainsi que les actions permettant de favoriser son développement. Le microsite renvoie également à une vidéo explicative.
Ce microsite permet donc, en un coup d'œil, de comprendre les avantages de la dialyse à domicile et œuvre à son déploiement, dans l'intérêt des patients.
En unissant leurs actions dans le cadre d'une convention de partenariat inédite, le fonds de dotation HTC Project et l'association Trans-Forme entendent favoriser la sensibilisation du grand public au don de moelle osseuse et au protocole de greffe, dernier recours thérapeutique pour les patients atteints de maladies graves du sang.
Pour que la greffe de moelle osseuse soit une vraie chance de repartir de zéro pour les patients.
Maurice Slapak, médecin transplanteur, prédécesseur d’Olivier Coustere en qualité de Président de la WTGF (World Transplant Games Federation) a rédigé un livre sur l’histoire des Jeux Mondiaux des Transplantés et des pays membres de la Fédération Mondiale à travers les années. « Global Organ Donation, Transplantation and the Transplant Games » sortira dans quelques jours, en ce mois de décembre 2019.
Le rapport annuel de l’Agence de la biomédecine retrace les principaux temps forts et projets marquant auxquels elle a contribué durant l’année 2018. L’occasion de (re)découvrir l’étendue de ses activités : le prélèvement et la greffe d’organes, de tissus et de cellules souches hématopoïétiques, ainsi que la procréation, l’embryologie et la génétique humaines, et la promotion de la recherche.
En France, près de 3 millions de personnes souffrent d’une dégradation des capacités de filtration des reins, ou maladie rénale chronique. Près de 90 000 sont au stade de l’insuffisance rénale chronique terminale (IRCT). Cette condition d’extrême gravité nécessite une transplantation rénale ou la mise en place d’un traitement de suppléance par dialyse, en centre ou à domicile.
Depuis plusieurs années, les autorités de santé appellent au développement de la dialyse à domicile, car elle offre des avantages pour les patients et pour le système de santé. Pourtant, en France, seuls 7 % d’entre eux sont pris en charge à domicile, soit deux fois moins que dans certains pays de l’OCDE. « Si, aujourd’hui, près de 50 000 patients sont traités par épuration extra-rénale en France, un nombre encore très limité est traité à domicile, soit par dialyse péritonéale soit par les nouvelles modalités d’hémodialyse qui se sont développées ces dernières années. C’est pourtant l’aspiration de nombreux malades en attente d’une plus grande souplesse vis-à-vis de leur traitement », confie le Pr Gabriel Choukroun, président de la Société Francophone de Néphrologie Dialyse et Transplantation (SFNDT).
La formation à l’utilisation des dispositifs médicaux est primordiale, au nom de la qualité et de la sécurité des soins. Ce sujet était d’ailleurs au coeur des échanges lors de la table ronde de la dernière assemblée générale du Snitem, organisée le 25 juin dernier. Pour qu’elle soit optimale, plusieurs modalités innovantes d’enseignements ont émergé, dont la simulation en santé.
Depuis 15 ans, un logiciel a été créé pour permettre de suivre les patients, du jour où ils sont transplantés puis tout au long de leur vie. Ces données constituent un dossier numérique, INTEGRALIS, totalement dématérialisé, intégrant toutes les informations concernant le transplanté. Ce dossier est constitué des données biologiques, immunologiques et mentionne les appréciations des spécialistes de la transplantation dans le parcours de la personne greffée.
À l’heure où tout le monde parle de sport-santé, des bienfaits de l’activité physique pour les maladies chroniques, du sport sur ordonnance, des chèques santé… Olivier Coustere sourit. Cela fait plus de 30 ans que l’on démontre et prône les bienfaits de la pratique physique et sportive pour les transplantés et les dialysés, et que la pratique d’une activité physique est un premier pas vers une vie « normale » et une qualité de vie retrouvée.
En 1952, la première greffe de rein en France avec donneur vivant a eu lieu à l’hôpital Necker. Le patient a rejeté l’organe au bout de 3 semaines car les traitements immunosuppresseurs n'existaient pas encore. Depuis les domaines de la néphrologie et de la greffe rénale ont fait beaucoup de chemin.
Ces micro-organismes vivants peuvent soulager les troubles digestifs à répétition. Certains probiotiques sont efficaces en cas de ralentissement du transit. Mais ils ont aussi d'autres vertus à leur actif. Comment bien les connaître et les utiliser…
Retrouvez la suite de l’article sur le blog Don de vie 62.
Cette année encore, JC DECAUX est partenaire de Trans-Forme. L’entreprise renouvèle son soutien à la cause du don d’organes en installant des affiches d’appel au don Trans-Forme.
Dans quelques semaines débutera officiellement aux USA un grand concours, sur le modèle des XPrizes, ouvert à des équipes techniques et scientifiques, dont l’objectif est de transformer totalement les traitements des maladies rénales et de l’insuffisance rénale.
Prédire le risque de rejet et de perte des organes greffés : “un pas de plus vers une approche personnalisée de la prise en charge des patients” Par le Pr Alexandre LOUPY
En France, plus d’une personne sur mille (70 000) est en vie grâce à un organe greffé (rein, foie, cœur, poumon, pancréas…). La récupération des patient(e)s transplanté(e)s est souvent très bonne mais la survenue d’un rejet aigu ou chronique – l’un ou l’autre menaçant la survie de l’organe et de la personne – reste au centre des problématiques des greffes. Les traitements préventifs ou curatifs des rejets sont lourds. Ils majorent les risques d’infections et de cancers et aggravent le risque cardiovasculaire. Le traitement antirejet (immunosuppresseur) à la carte pourrait se trouver à portée de main en prédisant mieux le risque de rejet.
L’Agence de Biomédecine a publié les résultats d’une enquête très originale sur les donneurs vivants de rein. Pour cette enquête dite "longitudinale", plus de 500 donneurs ont été interrogés à trois étapes de leur parcours : juste avant le prélèvement, 3 mois, puis 12 mois après.
Recréer des tissus à partir de cellules souches permettrait de réparer des organes défaillants. Cette ingénierie tissulaire se heurte néanmoins à de nombreuses difficultés et la fabrication ex nihilo d’organes complexes, innervés et vascularisés n’est pas pour demain. Mais pour des tissus plus simples comme la cornée, la recherche avance à pas de géant. Une équipe australienne est notamment parvenue à créer un film artificiel recouvert de cellules souches qui, greffé dans l’œil, se révèle capable de régénérer une cornée déficiente.
C’est une découverte scientifique porteuse d’espoir : L’Arenicolamarina, petit ver marin facilement observable sur les plages bretonnes, pourrait un jour permettre une meilleure durée de vie des greffons. Mais pas que…