L’école francophone de prélèvement multi-organes a 10 ans
L’école francophone de prélèvement multi-organes (EFPMO) fêtait le vendredi 10 mai 2019 les 10 ans de sa création.
L’école francophone de prélèvement multi-organes (EFPMO) fêtait le vendredi 10 mai 2019 les 10 ans de sa création.
En 1952, la première greffe de rein en France avec donneur vivant a eu lieu à l’hôpital Necker. Le patient a rejeté l’organe au bout de 3 semaines car les traitements immunosuppresseurs n'existaient pas encore. Depuis les domaines de la néphrologie et de la greffe rénale ont fait beaucoup de chemin.
Ces micro-organismes vivants peuvent soulager les troubles digestifs à répétition. Certains probiotiques sont efficaces en cas de ralentissement du transit. Mais ils ont aussi d'autres vertus à leur actif. Comment bien les connaître et les utiliser…
Retrouvez la suite de l’article sur le blog Don de vie 62.
Cette année encore, JC DECAUX est partenaire de Trans-Forme. L’entreprise renouvèle son soutien à la cause du don d’organes en installant des affiches d’appel au don Trans-Forme.
Dans quelques semaines débutera officiellement aux USA un grand concours, sur le modèle des XPrizes, ouvert à des équipes techniques et scientifiques, dont l’objectif est de transformer totalement les traitements des maladies rénales et de l’insuffisance rénale.
Prédire le risque de rejet et de perte des organes greffés : “un pas de plus vers une approche personnalisée de la prise en charge des patients”
Par le Pr Alexandre LOUPY
En France, plus d’une personne sur mille (70 000) est en vie grâce à un organe greffé (rein, foie, cœur, poumon, pancréas…). La récupération des patient(e)s transplanté(e)s est souvent très bonne mais la survenue d’un rejet aigu ou chronique – l’un ou l’autre menaçant la survie de l’organe et de la personne – reste au centre des problématiques des greffes. Les traitements préventifs ou curatifs des rejets sont lourds. Ils majorent les risques d’infections et de cancers et aggravent le risque cardiovasculaire. Le traitement antirejet (immunosuppresseur) à la carte pourrait se trouver à portée de main en prédisant mieux le risque de rejet.
L’Agence de Biomédecine a publié les résultats d’une enquête très originale sur les donneurs vivants de rein. Pour cette enquête dite "longitudinale", plus de 500 donneurs ont été interrogés à trois étapes de leur parcours : juste avant le prélèvement, 3 mois, puis 12 mois après.
Pour les anglophones, découvrez le dernier numéro de TransplantWorld, le magazine de la Fédération Mondiale des Sportifs Transplantés.
Bonne lecture !
Recréer des tissus à partir de cellules souches permettrait de réparer des organes défaillants. Cette ingénierie tissulaire se heurte néanmoins à de nombreuses difficultés et la fabrication ex nihilo d’organes complexes, innervés et vascularisés n’est pas pour demain. Mais pour des tissus plus simples comme la cornée, la recherche avance à pas de géant. Une équipe australienne est notamment parvenue à créer un film artificiel recouvert de cellules souches qui, greffé dans l’œil, se révèle capable de régénérer une cornée déficiente.
Retrouvez la suite de l’article sur le site de l’Observatoire de la santé auditive et visuelle.
C’est une découverte scientifique porteuse d’espoir : L’Arenicolamarina, petit ver marin facilement observable sur les plages bretonnes, pourrait un jour permettre une meilleure durée de vie des greffons. Mais pas que…