Comment le soignant gère-t-il les effets secondaires des traitements immunosuppresseurs ?
Par le Dr Catherine Amrein, ancien médecin des hôpitaux,
Transplantation Cardiaque et Pulmonaire - Hôpital Européen Georges Pompidou - Paris
Le but de la transplantation d’organe est de permettre aux patients de mener une vie normale, au prix de « quelques » contraintes. Elles se résument principalement à l’observance thérapeutique, l’hygiène de vie, et non la moindre : le suivi médical.
Pour les équipes soignantes la survie du patient/greffon prime. D’où ces contraintes. Qui peuvent retentir sur la qualité de vie. Celle-ci dépend de plusieurs variables : la nature de la greffe et son « environnement » médical, le soutien social et familial, les variables psychologiques personnelles, et les évènements stressants pouvant survenir ainsi que la façon de les appréhender.
Ainsi la greffe rénale améliore la qualité de vie par la suppression des contraintes de la dialyse.